▵ messages : 1240 ▵ arrivé(e) le : 05/03/2008 ▵ avatar : lucy kate hale.
Sujet: la skyzo refait ses fiches ♥ Dim 27 Aoû - 14:02
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<center><div class="fiche"><div class="fond2"><div class="t1">Sora-Plùm Y. Di laurenti</div><div class="t4">petite citation</div></div> <table><tr><td><img src="https://image.noelshack.com/fichiers/2017/24/4/1497547502-002.png"></td><td><div class="fond3"><div class="t2">Ton personnage</div> [b]prénom(s) ✄[/b] Sore-Plùm Yuna, le prénom composé me vient de ma mère que je ne connais pas ,car cette dernière m’a abandonné à la naissance. Yuna est le second prénom que j’ai demané à l’âge de seize ans quand j’ai apprit que Yuna , une dame qui m’avait guidé durant ma jeune vie était décédée. [b]nom ✄[/b] Di Laurenti, je n’ai pas idée d’où cela me vient pour le coup, je n’ai jamais pensé à en savoir plus sur cela. [b]surnom(s) ✄[/b] Plùm, on m’appelle Plùm plus que Sora-Plum, et moi-même je préfére tout simplement Plum, parfois je me présente en étant Yuna, je ne sais pas pourquoi, ça me vient comme ça. [b]âge ✄[/b] 16 ans, bientôt 17 ans. [b]origines ✄[/b] Américaine. Je ne sais pas si j’ai d’autre origine, je ne connais rien de mes parent, sauf l’endroit où ma mère se tient à présent. [b]date et lieu de naissance ✄[/b] 15 Septembre à Chicago. [b]métier ✄[/b] Fille au pair pour une famille vivant dans un hôtel réputé de Brisbane. Je suis encore au lycée par la même occasion, je ne veux pas lâcher mes cours et mon avenir. [b]passion ✄[/b] danse, art, dessin et chant. [b]orientation sexuelle ✄[/b] Hétérosexuelle, quoi que je n’ai jamais testé les filles et à vrai dire cela ne m’a jamais réellement donné envie, puis je ne suis pas du style à faire n’importe quoi, sauf une fois et cela m’a servit de leçon , je pense. [b]situation amoureuse ✄[/b] Célibataire. Malgré, que j’ai quelques sentiments pour quelqu’un, mais ce dernier se trouve à Liverpool, donc aucune chance d’y croire plus que ça, puis il est bien plus vieux que moi et il m’en veut.
[b]caractère ✄[/b] drôle, forte, libre, indépendante, intelligente, joueuse ; lunatique, capricieuse, rebelle, langue de vipère, solitaire
[b]avatar ✄[/b] danielle Campbell [b]crédits ✄[/b] tumblr et strawberry insane..</div></td></tr></table> <div class="boutons"><label for="lien1" class="lab L1">LOVE QUESTION</label> △ <label for="lien2" class="lab L2">TEST </label> △ <label for="lien3" class="lab L3">ANECDOTES</label> △ <label for="lien4" class="lab L4">ONLY YOU.</label></div><div class="interne2"><div class="contenu L1"><div class="t2">Ma vision de l'amour</div> [b]✄ Êtes-vous actuellement en couple ? Heureux ? Malheureux ?[/b] Tu n’es pas en couple. Tu ne l’as même jamais été, enfin tu ne penses pas que ta relation compte comme telle ? Tu n’en sais rien, mais tu sais juste que tu es célibataire. Heureuse ou malheureuse. Tu préfères te dire que tu es heureuse, que ta vie pourrait être bien plus compliquée et catastrophique, tu ne peux donc pas te plaindre ou encore moins râler. Mais, tu avoues à demi-mot que tu as du mal avec le fait de ne jamais avoir eu d’attache sauf Yuna qui était morte peu de temps avant que tu la retrouves. Tu as toujours du mal à ne plus penser à elle, tu te dis juste que tu as eu de bon moment heureux avec elle et c’était sans doute cela le plus important après tout ?
[b]✄ Racontez-nous votre première histoire d'amour.[/b] Tu n’as jamais vécu de grande histoire d’amour. Ta première fois c’était avec un mec que tu connaissais, un ami, tu voulais juste sauter le pas, car tout le monde en parlait comme d’un grand moment. Mis à part avoir mal et souffrir, tu n’avais pas trouvé cela formidable, peut être que c’était le manque d’amour entre toi et ce garçon qui y avait joué ? Tu ne veux pas le savoir, peut être que Pacôme fût cette première histoire d’amour. Tu l’as aimé au premier sourire échangé sur ce toit, tu as béni chaque seconde passé avec lui à parler de vos vies respectifs, tu regrettes juste le fait d’avoir conté un mensonge à ce dernier : ton âge. Tu t’en remets, vu qu’il n’est plus là, mais tu veux bien croire qu’il était cette premier histoire d’amour, mais qui n’aura duré qu’une nuit et puis quelques messages échangés par la suite durant deux mois, vu qu’il avait dû aller vers un autre pays suite à cette soirée. Vous étiez sans cesse à vous dire que l’autre manquez, mais tout c’était terminé à cause d’une photo de toi sortant de cette clinique spécialisée dans l’avortement.
[b]✄ Jusqu'où seriez-vous prêt à aller par amour ?[/b] Faire n’importe quoi. Tu serais capable de beaucoup, tu vis les choses à fond, tu te donnes corps et âme aux personnes auxquels tu tiens .Yuna en est sans doute la preuve, tu as traversé tout un pays pour la trouvé, malheureusement, tu l’avais manqué de quelques semaines. Tu vis ta vie dans l’espoir quel soit fière de toi, elle aurait pu continuer à guider tes pas, mais malheureusement ce n’était plus possible. Tu avais appris en quelques mois à faire avec, car cela était encore récent. Tu avais quelques fois l’impression que ça datait de la veille que cette secrétaire t’annonçait sa mort. Tu n’avais pas pleuré, tu étais restée seule et silencieuse pendant des heures à revivre vos souvenirs, des souvenirs que vous aviez en commun avec bien d’autres enfants, elle n’était pas tienne. Et personne ne t’appartiendra, tu as aussi compris que les autres humains ne s’apprivoisent pas, car c’est un combat constant pour ne pas perdre une personne qu’on aime.
[b]✄ Croyez-vous en l'amour ? Pourquoi ?[/b]Oui et non. Tu n’en sais rien. La question est compliqué pour toi, tout en étant simple quand tu te mets à penser à Yuna ou encore Pacôme. Puis tu te dis, que tu ne sais pas si tu as vécu tous les amours possible, tu n’as que seize ans, tu es certes bientôt à l’arrivée de tes dix-sept ans, mais ce n’était pas l’âge qui allait t’aider à acquérir de l’expérience, non ce n’était pas ça. Tu ne savais donc pas comment expliquer ton oui et ton non. Tu ne sais pas quand te viendras l’acquisition de ton apprentissage de l’amour. Puis, tu n’as pas que ça à comprendre, tu as une multitude de chose et tu finiras sans doute par tout comprendre, quoi que les plus vieux qui ont l’âge d’être tes parents n’aient pas toujours l’air de tout comprendre.
[b]✄ croyez-vous au seconde chance en amour ? pourquoi ?[/b] Oui et non. Tu n’as jamais eu l’occasion d’en donner une seconde et tu n’as jamais reçu de seconde chance, alors tu ne sais pas. Tu es complétement paumée pour le coup, tu ne sais pas très bien quoi répondre, mis à part rester neutre, chose que tu n’aimes pas forcément, vu que tu aimes bien avoir réponse à tout, mais les mystères de la vie te complique sans cesse la vie malheureusement pour toi. Mais, tu veux bien croire aux secondes chances, si un jour on te permet de t’expliquer avec Pacôme, ce dernier refuse de répondre à tes messages, enfin il a totalement changé de numéro, alors tu as lâché l’affaire, à quoi bon ? Tu n’en sais rien. Tu veux être heureuse, mais le bonheur avait l’air d’être compliqué à trouver pour toi.</div><div class="contenu L2"><div class="t2"> test de personnalité</div> <b>votre expérience ✄</b> ✔ célibataire - ❒ en couple ✔heureux - ❒ malheureux ✔ accompli - ❒ en manque ✔ l'amour existe - ❒ l'amour n'existe pas
[b]votre vision de l'amour ✄[/b] ❒ l'amour est une réalité, vous y croyez ❒ l'amour ne vaut pas les plaisirs de la chair ❒ vous y croyez, vous y aspirez ✔l'amour est comédie grandeur nature ❒ l'amour vous a maltraité, vous avez été brisé
[b]votre façon de vivre ✄[/b] ❒ vous aimez passer un moment romantique à deux ❒ vous partez à l'aventure, à la recherche de nouvelles rencontres ❒ vous changez de nana/mec comme de chemise ❒ vous jalousez les couples amoureux ✔ vous restez à l'écart pour ne pas vous attacher
[b]si vous étiez un personnage Disney ?[/b] ✔ Anna, La Reine des Neiges ❒ Flynn, Raiponse ❒ Maléfique, La Belle aux bois dormant ❒ Rouky, Rox et Rouky ❒ La Bête, La Belle et la Bête
[b]si vous étiez un animal ?[/b] ❒ un ours ✔ un lion ❒ une biche ❒ un python ❒ un kangourou
[b]si vous étiez un jouet des années 90 ?[/b] ❒ Ken & Barbie ❒ Les cartes et jeux vidéo Pokémon ❒ Action Man ❒ Lego ou Playmobil ✔ Tamagotchi</div><div class="contenu L3">[i]▵ Vous devez écrire [u]10 anecdotes minimum[/u] concernant votre personnage. Vous pourrez les réutiliser pour votre profil et/ou votre fiche de liens. (veuillez effacer ce descriptif)[/i]</div> <div class="contenu L4"><div class="t2"> TOI, toi, toi IRL</div> [b]prénom ✄[/b] Cindy. [b]pseudo ✄[/b] LKD. [b]âge ✄[/b] 24 ans [b]pays ✄[/b] France. [b]comment as-tu connu le forum ? ✄[/b] ça fait longtemps ! [b]impression ✄[/b] magnifique et accueillant. [b]scénario ou PI ✄[/b] le scénario de ma maman emery ! si scénario, [url=http://www.always-love.com/t15081-f-danielle-campbell-un-ange-frappe-a-la-porte-famille-reserve#449348]scénario de x[/url] [b]double compte ou nouveau ✄[/b] Nouvelle . [b]un dernier mot ✄[/b] ILY !
Je souhaite l'exclusivité : ✔ du [b]prénom[/b] ✔ du [b]nom de famille[/b]
<u>mon intégration</u> ✔ Je souhaite être [url=http://www.always-love.com/t3064-parrainage-explicationsformulaire-pour-les-filleuls][b]parrainé[/b][/url] [code]DANIELLE CAMPBELL [color=#ff6600]▵[/color] [url=LIEN VERS LE PROFIL]sora-plùm y. di laurenti[/url][/code] </div></div></div></center>
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<center><div class="fond1"><div class="fond2"><div class="t1">live my story honey</div></div> <img src="https://i.pinimg.com/736x/4c/45/54/4c455410a3af17a80c3eb4b0568cb35e--danielle-campell-dani-campbell.jpg" ;="" style=" opacity: 0.8;" width="430">
<div class="fond2">Recroquevillée. Terrifiée. Tu te sens mal, tu ne sais pas ce qui va se passer dans cette obscurité qui règne en maître dans ce dortoir dans lequel tu as grandis. Tu te sens bien quand la lumière du jour t’éclair, que le soleil réchauffe ta douce peau. Là de suite, tu te sens perdue et tu pleurs, tu tentes malgré tout de rester silencieuse. Tu n’es pas seule dans cette pièce qui te paraît démesurément immense. Pourquoi es-tu éveillée à une heure si tardive où la lune laisse sa pénombre te faire entrevoir les choses de cette pièce ? Tu as cauchemardé encore. Tu te sens bien seule, pourtant vous êtes une bonne dizaine dans cette chambre, des petits, des grandes et des moyennes. Pas de petit groupe d’enfant. Les mélanges étaient plus utile et aidait les personnes qui vous gardez durant les nuits. Tu es affolée et tu n’oses pas réveiller qui que ce soit, puis celle que tu as l’habitude de réveiller n’est plus là. Elle avait été une chanceuse de ce week-end ouverte. L’adoption était une chose importante pour tous les enfants présents ici, Lika avait été adoptée et autant dire que dans le fond tu espérais qu’elle revienne, car ses nouveaux parents ne voulaient plus d’elle ? Tu t’en voulais déjà de penser ainsi, car ce n’était pas gentil. Mais, tu n’aimes pas la vie ici sans elle, sans cette amie qui était comme une sœur, qui est encore une sœur, même si elle n’était à présent plus là pour calmer tes maux. Si elle revenait, tu t’en voudrais aussi, car tu ne veux pas qu’elle soit malheureuse ici. Ce n’est pas facile de se réjouir de sa vie ici, c’était même impossible. Tu sens ton cœur se serrer, tu te sens mal, tu as du mal à respirer, comme toujours, mais tu sais comment calmer tes crises, ce n’est malheureusement pas toujours efficace. Tu dois penser à une chose qui te rassure et te donne le sourire, tu fermes les yeux t’enfermant toi-même dans le clair-obscur de tes paupières. Tu tentes d’imaginer la chose dont tu rêves le plus au fond de toi et dont tu n’oses jamais quémander à voix hautes pour ne pas tout ruiner. Tu te retrouves dans une cuisine, tu cherches du regard cette maman que tu t’étais imaginée plus d’une fois dans ta tête, tu l’imagine avec le même regard que toi. Tu souris doucement en la voyant faire une tarte à la cerise, ta tarte préféré, bon la seconde, mais tu n’es pas là pour rechigner. Tu restes concentrée sur ce rêve que tu te crées par toi-même, commençant à te laisser glisser sur le matelas qui est le tien. Tu te secoues un peu, avant de laisser un sourire emprisonner tes lèvres, tu aimes ce que tu es en train de vivre, c’était aussi réjouissant qu’un doux câlin que pouvait offrir ton amie, ta sœur Lika. Tu mords un peu ta lèvre, ne sachant pas réellement pourquoi tu sens ton estomac se soulever doucement, comme si tu étais sur une balançoire à redescendre à pleine vitesse, tu souris, tu n’arrives plus à arrêter. Tu te rends compte que tu es à deux doigts du bonheur, mais que ce dernier n’est que finalement artificiel et qui ne durera que le temps de ce rêve qui sortait tout droite de tes méninges, de tes rêves et de tes désirs. Finalement Morphée venait te kidnapper dans ses bras, tu n’en a pas réellement envie, car ça serait comme tirer un trait sur ce rêve étrange. Tu ne sais pas pourquoi tu es dans cet orphelinat avec les autres enfants, mais tu espères péniblement que tes parents n’avaient pas le choix de te laisser sur le bord de leur vie. Tu te demandes si eux aussi pense à toi, mais tu ne veux pas te faire de faux espoir, dans le fond tu le sais que la vie n’est pas si facile et si rose. Tu le sais que ce n’est point facile d’affronter les obstacles de la vie et pourtant tu n’as que dix ans. Mais, dix années de vies dans cet endroit. Tu t’es habituée au départ des uns et des autres que ce soit les enfants ou les personnes chargées de votre bonheur. Les responsables sont comme votre famille, ils sont important pour vous, mais il ne faut pas non plus que vous soyez trop accroché à eux, rare sont ceux qui reste longtemps comme Yuna par exemple. Cette femme à la voix douce et pourtant à l’air si sévère, tu es l’une des seules enfants à avoir réussi à comprendre cette femme, elle te fait sourire derrière ce masque qu’elle se donne, elle est réellement douce, une perle qui te réconforte en un mot. Elle est magique, tu n’imagines pas vraiment ta vie ici sans elle.
Tu regardes cette infirmière qui passe près de toi, tu souris doucement, le sourire que tu offres et faux. Pourquoi tu sourirais ? Tu n’as pas vraiment de raison d’être heureuse et de vouloir sourire à la vie ou à une quelconque personne de ton entourage. A vrai dire tu n’as pas vraiment d’entourage, de compagnon de route. Tu n’es pas non plus seule, même si pour toi c’est toujours mieux que de s’accrocher à n’importe qui et de finir le cœur brisé. Tu as souvent eu le cœur brisé, non pas par un garçon, mais bel et bien par des familles. Pas la tienne, car tu n’en as pas, enfin tu ne l’as connais pas. Tu sors bel et bien d’un ventre, d’un utérus, mais la personne à qui appartient ce dernier ne voulait pas de toi. Dans ta tête tu te berces souvent d’illusion. Tu n’es pourtant pas rêveuse pour un sous. Tu le sais bien du haut de tes douze ans que la vie ne te fera jamais de cadeau. C’est malheureux, c’est l’avis de Yuna cette femme qui bosse dans l’orphelinat où tu vis. Tu ne sais pas très bien ce qui te relit à elle, tu as du mal avec les sentiments et toutes ces choses qui vont avec. Tu apprécies sa présence, le fait qu’elle soit de temps à autre douce avec toi et que tu puisses presque t’ouvrir. Tu ne le fais jamais totalement, tu as toujours peur d’être jugé, puis tu préfères largement être celle jugeant que celle qui a droit à des souffrances causés par des mots mal placés. Tu n’es tout bonnement pas facile à comprendre, actuellement tu as le regard vide, les pensées remplis de chose assez futile. Après tout qui se demandait ce qui se passait pour un chat quand il était abandonné sauf toi ? Aucune idée. Mais cela te touches, tu aimes bien savoir les choses, tu as toujours eu soif de découverte, mais tu n’as pas toujours le temps d’apprendre les choses des personnes, de la vie, car on te brise fort souvent les ailes. « [color=#0066ff]Mademoiselle Di Laurenti ?[/color] » Tu secouais la tête en voyant cet homme en blouse blanche venir te voir. « [color=#0066ff]Vous le savez je ne peux pas parler sans votre représentant légal.[/color] » Il te parle comme à une grande, tu as l’habitude, alors que tu n’as qu’une envie t’effacer, te recroqueviller sur toi-même pour ne plus avoir à poser le regard sur cette vie qui est la tienne. Comme simple réponse, tu ne fais qu’un large sourire en secouant la tête de bas en haut, sans laisser aucun son s’extraire de ta bouche. Tu vois Joan venir s’occuper du médecin, elle t’adresse un simple sourire qui toi ne te réjouis pas. Tu connais ta maladie, tu sais que les chances de voir une famille débarquer étaient une chose impossible. Tu refuses d’y croire, après tout, qui voudrait d’une enfant, d’une adolescente cassée ? Tu es malade. Tu n’es pas la seule dans le monde, mais tu es peut être l’une des seules enfants à ne pas avoir ta mère ou ton père inquiet à tes côtés suppliant pour te rendre une vie meilleure et prendre eux même la maladie. Personne ne se bat pour t’aider, pour te motiver à vivre, tu le fais toi-même. Cette malformation cardiaque, ne t’aide pas, tu ne sais pas réellement ce que tu pourrais obtenir de ta vie, tu n’oses même plus y croire .Après tout, le traitement pourrait finir par ne plus être suffisant ? Tu pourrais t’écrouler au sol un jour et ne plus jamais revoir la lumière du jour. Tu ne veux pas y penser. Tu es jeune et la mort te terrifie. Tu as déjà fait des rêves, des cauchemars plutôt, mais tu as du mal à ne pas laisser une once d’inquiétude sur ce jour de ta mort. Tu te fais peut être un film après tout ? Tu pourrais vivre bien des années et avoir une vie, puis peut être offrir une vie formidable à un enfant ? Ouai, enfin. Tu mords ta lèvre avec cette angoisse qui grimpe dans ton ventre, tu as mal à tel point que tu as envie de vomir, ce que tu finis par faire sur le sol de l’hôpital. Les regards se tournent sur toi, tu te sens coupable, tu voudrais te cacher dans un trou de souris, mais tu n’es pas si petite. « [color=#cc0033]Ma belle. [/color]» Cette délicieuse voix émane de Yuna. Tu la regardes, un sourire capture tes lèvres, étirant un peu les traits de ton visage, tu ne sais pas trop si tu dois vraiment sourire au vu de sa mine dévasté. « [color=#cc0033]Tu vas devoir rester un peu ici ![/color] » C’était bel et bien le pire qu’elle pouvait annoncer. Tu n’aimes pas cet endroit, tu le trouves froid puis tout sauf très convivial. L’orphelinat ce n’est pas toujours la joie avec tous les autres enfants, mais tu le sais que tu auras toujours de quoi t’amuser. Pourtant, tu n’as pas le choix, tu ne fais rien, mis à part pleurer quelques larmes. Tu sens les bras de la femme que tu connais depuis ta naissance ? Tu n’en es pas sûre pour le coup, un jour tu penseras à lui poser la question.
Tu comptes les jours depuis ce départ. Elle était partie te laissant derrière toi et les autres têtes blondes de l’endroit. Tu ne sais pas pourquoi et si un jour elle daignera revenir pour vous voir. Mais, ce qui est sûre c’était qu’elle te manquait, cette femme n’était plus là. Elle était celle qui avait su guider ta vie et être présente pour quand ta maladie te rongeait moralement et physiquement. Tu te sens trahi, tu souris, mais le cœur n’y ait pas. Le sourire radieux que quelques fois tu pouvais offrir n’était plus là. Après tout, pourquoi tu te lamentais sur ce départ ? Tu devais être forte, ce n’était pas une chose compliqué à faire après tout ? Tu ne devais plus pleurer, ne plus laisser les choses se passer sans que tu donnes ton accords ou que tu sois au courant. C’était ainsi que les choses allaient devoir rouler à présent. Tu vas peut être souffrir, mais tu le feras en silence, c’était ainsi que tu avais sans cesse fonctionné jusqu’à présent et tu ne te voyais pas faire autrement. Tu mords un peu ta lèvre alors que tu sens une petite venir avec son doudou se glisser dans ses bras. Pas un mot. Les mots sont presque inutile ici, tu le sais vous êtes effrayé à ce jeune âge qu’a cette jolie poupée blonde. Tu la serre contre toi, alors que tu entends les autres chahuter et jouer, tu restes calmes chantonnant une berceuse à cette petite qui a l’air de s’apaiser doucement. Tu souris un peu plus quand tu sens ses lèvres se déposer sur ta joue. Tu n’arrives pas à t’empêcher de sourire. Après tout, il était rare de voir un tel geste se produire. Tu en n’avais pas l’habitude, mais autant dire que tu appréciais ce comportement pour le coup. Tu souris un peu plus alors que tu viens lui rendre ce baiser avec douceur, tu as l’impression qu’un geste brutal pourrait la casser en mille morceau tellement elle donnait l’impression d’être très fragile. Tu finis par te lever et tu la laisses prendre ta main en marchant avec elle, tu en oublierais presque le fait que Yuna s’en était allée. Mais ce n’était pas le cas et le presque était dans le fond l’essentielle de cette phrase. Tu n’es pas sûre de parvenir à survivre ici sans un peu d’amour maternel. C’est étrange, mais tu considères la femme comme une maman, après tout tu la connaissais depuis toujours, elle t’expliquait quand les choses n’étaient pas bien et au contraire quand il fallait s’en réjouir. Mais, dans le fond cela était un bien pour un mal, ça allait t’aider à devenir bien plus forte. Tu marches prés de cet enfant le sourire en coin, alors que ton rictus s’arrête en voyant une visite pour une adoption, tu te demandes encore qui sait qui allait bien pouvoir s’en aller de cette endroit. Tu comptes aller dans les jardins avec la petite à qui tu n’as pas encore adressé un seul mot, mais tu entends résonner ton prénom dans ce hall. « [color=#ff0033] Plùm ?[/color] » Tu te retournes et tu déposes ton regard sur cette femme, tu l’as connais de vue et tu te souvins surtout qu’à chaque fois qu’une enfant ou adolescente passait dans son bureau et finissait par partir peu de temps après. Tu le sais comme tous, quand l’âge des quinze ans arrive tu vas finir par voir ta vie prendre une autre trajectoire. Le foyer, tu sais de quoi elle veut te parler, tu angoisses déjà, tu ne sais pas comment c’est là-bas et tu n’es pas sûre de vouloir l’apprendre. Tu laisses la petite avec regret filer avec une des nourrices et tu t’enfonces dans le bureau de cette psychologue. Tu n’es pas réellement dans cet endroit, tu t’imagines ailleurs, tu espères en tout cas pouvoir le faire, tu espères pouvoir trouver une autre solution. Tu cherches dans ta tête, mais elle n’a pas l’air de vouloir t’aider à penser à un autre lieu, tu restes dans les méandres de tes désirs et de tes pensées. Tu ne sais plus si l’espoir est une chose importante, car ça ne fait que donner des faux espoirs et on tombe souvent de haut puis tu le sais la chute est radicale.
Tu te caches, tu ne veux pas être vu. Cela dure depuis deux mois. Tu n’es plus à l’orphelinat. C’était douloureux pour toi de laisser les autres derrière toi, mais tu avais besoin de prendre cette vie qui se trouve être la tienne en main. Tu le sais on ne peut pas toujours suivre le chemin tracé face à nous et tu avais décidé de saisir cette chance pour t’enfuir plutôt que d’aller au foyer. Tu n’en avais pas le courage. Pas que tu étais très peureuse, tout au contraire, tu aurais pu t’en sortir, mais tu rêvais de chose, pourtant dans le fond tu n’es pas rêveuse pour un sous, souvent à te briser toi-même tes rêves pour ne pas tomber du haut du ravin de l’espoir. Tu n’es plus en Amérique à présent, tu as dit adieu à Chicago. Tu as pris ton courage à deux mains, voire à trois. Tu as fait de l’auto-stop mentant sur ton âge, tu avais peur des hommes que tu avais pu croiser. Pas que tu étais une débutante dans le monde des grands, tu avais déjà connu ta première fois, tu l’avais fait en pensant que tu devais sauter le cap, tu n’étais pas amoureuse de ce Reese, pas du tout même, mais tu avais envie de passer le cap, car le sexe était l’une des choses qui te faisait peur. Tu as traversé pas mal de route et tu as du te sortir de quelques petits problèmes, tu t’étais plutôt bien débrouillée pour le coup. Mais tout au long de ce périple tu n’avais cessé de dire que tu avais dix-huit ans. Sans doute que dans ta tête cela passait bien mieux le fait que tu as l’âge pour bosser n’importe où. Tu tentes de retrouver Yuna, voilà la mission que tu t’étais donnée. Tu voulais la retrouver, mais dans le fond tu espérais quoi ? Aucune idée, mais tu voulais la voir peut être pour avoir l’un de ces conseils qu’elle seule serait capable de te donner. Elle allait peut être râlé pour cette fugue que tu avais faites. Mais tu t’en contrefichais. Tu marchais dans les rues de Liverpool, tu es arrivée hier et tu ne connais pas trop l’endroit, mais il fait un peu froid pour le coup. Tu vas en direction de la mairie, tu ne sais pas si on va t’aider, mais tu es prête à mentir, tu ne veux pas renoncer. Tu mords un peu ta lèvre avant de glisser ta main dans tes cheveux finissant par y mettre les deux mains pour nouer ces derniers dans une queue pas réellement droite, tu ne veux juste pas être emmerdée par ces derniers pour le moment. Tu rentres d’un pas franc et sûre de toi dans cet endroit, il n’y avait personne dans le hall de cette mairie. Tu regardes la secrétaire qui doit avoir quatre cinq ans de plus que toi, elle est habillée de façon sexy, tu n’avais jamais compris ce genre de fille qui voulait tout miser sur son apparence. Enfin, il n’était pas question de la silhouette ou encore des gouts vestimentaire de cette jeune fille. Tu t’avances, tu n’hésites pas la fixer, espérant qu’elle décolle son maudit nez de son magazine de femme ou qui doit encore parler des célébrités. « [color=#ff0000]Excusez-moi ![/color] » Tu lâches sur un ton neutre, mais tu tentes d’être un peu dur pour qu’elle comprenne que tu es pressée. Elle lève les yeux vers toi, elle a des yeux marron, ça te fait un peu sourire, car son nez est un peu retroussé, enfin ce n’était pas le moment de rigoler pour cela ou autre chose. « [color=#ff0000]Je viens pour trouver l’adresse de ma tante, cette dernière est partie et a oublié de nous communiquer son adresse. J’ai besoin de cette dernière, ma mère est morte, c’était sa sœur.[/color] » Tu mens. Tu n’as pas un seul remord à le faire, après tout pourquoi tu aurais des remords ? « [color=#330000]Attends une seconde ![/color] » tu restes un peu choquée, pourquoi se permet-elle de te tutoyer ? Tu ne comprends pas et tu commences déjà à t’impatienter, pourtant tu n’es pas du style perdre patience rapidement, c’était peut être seulement dû à cette femme devant toi ? Sans doute. « [color=#ff0000]Je ne vais pas attendre dix ans, TU sais ! [/color]» tu prononces le tu de façon très prononcé et presque avec un ton agressif comparé au reste de ta phrase. Enfin, elle commence à se bouger, il était temps, tu n’avais pas envie d’attendre. Tu mords ta lèvre heureuse, qu’elle commence à chercher. Puis le couperet tombe sur ta nuque, tu n’as plus la tête sur les épaules à l’annonce qu’elle te fait. « [color=#330000]Elle est morte … je suis désolée.[/color] » Avait-elle dit. Tu ne sais pas quoi dire, tu restes juste ébahit, la bouche en cœur, tu pourrais gober les mouches en laissant cette petite bouche ouverte. Tu restes silencieuse, il te faudra un temps avant de quitter ce lieu et de laisser sans réponse cette fille, tu avais fuis pour aller te réfugier dans un parc. La faim, la peur tout cela n’était rien face à la souffrance que tu ressentais en toi.
Tu te retrouves dans cette salle d’attente. Tu es stressée et très mal. Tu as pourtant l’habitude de te retrouver à l’hôpital, mais cette fois c’est différent des autres fois, malheureusement. Tu n’es plus seule. Non, tu es enceinte, tu ne peux cependant pas dire que tu n’es plus seule dans le fond, car l’embryon n’est pas encore viable et c’est bien pour ça que tu te retrouves dans cette clinique pour avorter. Ce n’est pas vraiment ton choix, tu dois l’avouer, mais ta maladie cardiaque ne fait pas bon ménage pour le moment avec une grossesse voilà les mots du médecin, puis cette solution t’arrange. Tu n’as que seize ans, tu ne veux pas offrir une vie misérable à tes enfants, pourtant tu as le cœur meurtrie. Peut-être que si tu n’avais pas été abandonné, tu aurais pu avoir cet enfant fille ou garçon peu importe. Tu avais toujours trouvé des raisons de cet abandon par tes parents, mais à présent que tu étais encore plus seule, tu ne parvenais plus à en trouver, tu trouvais justement que des mauvaises raisons. Tu te demandes, si ta mère avait pensé à avorter de toi ? Peut-être que pour elle il était trop tard pour le faire ? Sans doute. Tu te dis qu’on va penser de toi que tu es une fille facile, mais ce n’est pas le cas, tout au contraire. Pacôme le père n’est pas au courant de cette grossesse, vous vous êtes vu qu’une nuit au tout début. C’était une rencontre à une soirée, tu servais et lui était l’un des invités d’honneur pour cette soirée chic. Quand ton service avait fini, tu avais finalement quitté l’endroit pour aller sur le toit, tu adores passer ton temps près des étoiles, tu ne peux pas imaginer une soirée ou nuit sans les observer te disant que Yuna est là-haut à te contempler et tentant de te guider. Tu préfères penser ainsi que te dire que rien n’ira plus jamais. Tu te dis que de toute façon tu n’as plus besoin de personne, tu as mal au cœur en voyant que ton tour approche à grand pas, l’acouphène des battements de ton cœur vont finir par te rendre dingue. Tu reçois plusieurs messages de Pacôme depuis tout à l’heure, mais tu ignores. Tu le connais, cette nuit avait été faite de discussion parmi tant d’autre, vous avez fait connaissance. Tu es tombée sous le charme de ce garçon, tu as fini vers l’aube par l’embrasser laissant les choses déraper jusqu’à cet instant où tu te retrouvais à devoir avorter de ton enfant qui était le sien. Non, tu n’es pas une collectionneuse de mec, tu n’as eu que deux hommes dans ta vie, tu es jeune après tout et tu as toutes la vie pour la gâcher pour des hommes. Tu n’as été amoureuse et tu es encore amoureuse que d’un seul d’entre eux : Pacôme. Tu ne sais juste pas comment tu dois agir, tu lui as menti, tu n’as pas dix-huit ans, tu n’es pas majeur dans cette ville, mais tu parviens à te débrouiller comme une grande. Tu mens et tu tentes de t’en sortir, puis tu sais que tu es capable de le faire. La seule chose qui est compliqué c’est bien cette histoire avec Pacôme. C’était le moment, tu ne sais pas comment cela se passe, on t’a expliqué pourtant quand tu signais les papiers avec l’accord du médecin qui ne te laissait pas réellement le choix, ça t’arrange, car tu n’aurais pas pu de toi-même prendre cette décision. Il faudrait pour vivre une grossesse que ton cœur flanche et que tu subisses une greffe, mais un cœur ce n’était pas comme si on en trouvait à chaque coin de rue et tu l’avais bien comprit. Tu suis l’infirmière, tu tentes de faire comme quand tu étais tétanisée enfant, tu penses, tu rêves. Tu ne rêves juste plus de ta mère, d’une famille parfaite que tu aurais pu connaître. Tu aspires à une vie avec celui qui a su te faire sourire avec force et courage. Lui à qui tu avais menti et auquel tu allais encore mentir en supprimant ce futur être dans ton ventre. Tu laisses les choses se faire, tu ne ressens rien, comme si on te volait ton cœur, les larmes coulent rapidement sur ton visage, sa glisse comme sur du beurre, alors que tu sens ton ventre se nouer. C’est terminé. C’était fini, tu étais à présent seule dans cette pièce, le temps de reprendre tes esprits. Une ivg ce n’était pas drôle et même cruelle, tu avais toujours hais les personnes qui en faisait, mais dans le fond tu comprenais qu’il était possible de le faire pour rester en vie. C’était peut-être vital pour certaines femmes de faire ce choix. Tu sors de la clinique, tu es chamboulée, tu as presque du mal à marcher et tu vois un homme te prendre en photo, tu ne réalises pas sur le coup. Tu te dis juste que l’homme prenait la clinique en photo, après tout, tu t’en fichais à cet instant. Mais une heure plus tard, autant dire que tu allais t’en mordre les doigts, car Pacôme qui était un acteur connu dans son pays allait finir par te haïr et ne plus jamais te parler. Il savait que tu avais avorté, mais pas les raisons. Ton cœur sera brisé, mais tu devras avancer comme une grande malgré ces pertes : ton enfant et celui que tu pensais différent des autres.
Wellington, Australie. Nouveau lieu. Tu ne viens que d’arriver. Tu es là depuis deux jours, autant dire que tu es une petite arrivante dans cet endroit. La première chose que tu aies faite ? Te rendre à la plage. Après tout, comment expliquer que depuis toujours tu avais rêvé de la plage, pas celle de Chicago que tu avais connu, mais celle qui brûlait tes pieds avec le sable chaud. Bon, ce n’était pas fameux, vu qu’il ne faisait pas forcément chaud en cette période, mais le paysage qui s’était offert à toi était magnifique. Peut-être que cet été tu seras encore là ? Tu es ici pour avoir ton émancipation. Tu n’as que seize ans, mais tu continues de dire que tu en as dix-huit. Tu es majeur dans ce pays en plus de cela, alors ça t’aide. Tu as trouvé un travail en tant que fille au pair, mais ce qui t’as amené ici ce n’est pas réellement le travail, les plages et les paysages de cette ville de Wellington, mais le fait de trouver ta mère. Tu l’as trouvé à vrai dire. Tu n’as juste pas eu le cran d’y aller, après tout, tu t’es imaginé un tas de chose et tu as peur de savoir la vérité. Tu pourrais y aller et lui faire signer le droit d’émancipation comme le désirait ce juge qui te l’a refusé, mais tu n’as pas osé. Le juge avait lu un dossier que tu ne connaissais pas, tu pouvais connaitre ta mère si tes parents adoptifs le désiraient, mais tu n’avais jamais eu la chance d’être adopté, donc c’était bien plus compliqué. Tu n’as pas à te plaindre, la personne qui te laisse bosser chez toi, connait ton vrai âge, tu as encore ta fausse carte d’identité, mais tu t’en fiches pour être honnête, tu vas au lycée en même temps que les deux filles de la famille Johnson vont à l’école. Six ans et dix ans, vous avez les mêmes horaires, alors tu peux facilement conciliés les deux. Tu es payée peu, mais tu es logée et nourris, donc tu ne te plains pas. Puis, sans eux, tu serais à la rue et sans doute avec le droit de connaitre ta mère rapidement grâce aux autorités, mais tu as peur, tu es totalement angoissée à l’idée de cette rencontre. Car tu ne veux pas de ta mère, non tu veux le droit d’être libre et d’être traité comme une adulte. Tu vas devoir t’accrocher, mais tu y crois. </div></div></center>
SORA
Johanna
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Sujet: Re: la skyzo refait ses fiches ♥ Dim 27 Aoû - 14:09
Sweem A. Milwok
petite citation
Ton personnage
prénom(s) ✄ Je m’appelle Azurian Sweem. Mes parents ont toujours aimé nous donner des prénoms assez originaux… et encore ma grande sœur avait échappé à Camomille comme prénom donc autant dire que c’était pas mal non ? J’aime assez mes prénoms, car dans le fond il est rare de croiser ces derniers et donc je me sens presque unique. nom ✄ Milwok. Ma famille est assez connue. Que ce soit par ma mère (Nom : Kulina ) qui fait partie d’une famille australienne assez puissante, elle est d’origine Indonésienne et sont connu pour une téléréalité, je suis déjà passé dans cette dernière, mais pour être honnête, moi je suis surtout connu pour être boxeur professionnel en Australie et dans le monde. Mon père est connu lui aussi tout comme mon grand-père, j’ai souvent subit leur pression pour faire le même travail qu’eux, c’est-à-dire de la politique. La famille est réputée pour la politique, mais je ne compte pas suivre cette voie-là. surnom(s) ✄ trop ridicule pour vous les dires … mais bon. Le petit chinois, plus jeune j’avais les yeux assez bridés, ma mère ayant du sang chinois en elle, m’avait donné un peu de ce gêne apparemment. âge ✄ 23 ans. origines ✄ Indonésienne et Cannadienne. date et lieu de naissance ✄ Le 19 Janvier 1992 à Melbourne. métier ✄ Boxeur professionnel et ambulancier. Je suis ambulancier depuis un an maintenant, j’ai décidé de réduire les compétitions voulant profiter de la vie, mais surtout j’avais été obligé à subir une petite baisse de régime au niveau de mon sport après un combat m’ayant mis dans le coma durant deux jours. passion ✄ Les sport de combat en tout genre ! Les films d’actions. Les dessins animés il en raffole tout comme les séries. orientation sexuelle ✄ hétérosexuel situation amoureuse ✄ Célibataire et surtout coureur de jupon il n’a été amoureux qu’une seule fois, mais cette fille n’est plus dans les parages depuis bien des années à présent amour de secondaire donc pas très important. Depuis qu’il a la garde de ses nièces Louve et Nilza il essaye de jongler du mieux qu’il le peut, mais ce n’est pas très glorieux. .
caractère ✄ calme ♡ ponctuel ♡ généreux ♡ borné ♡ minutieux ♡ persévérant ♡ franc ♡ observateur ♡ tête en l’air ♡ sociable ♡ humble ♡ à l’écoute ♡ maladroit ♡ gourmand♡ jaloux.
avatar ✄ Matthew Daddario crédits ✄ merenwen
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Ma vision de l'amour
✄ Êtes-vous actuellement en couple ? Heureux ? Malheureux ? Célibataire et heureux ! Tu n’as pas besoin d’une femme pour être heureux, bon autant dire que tu es bien content d’avoir ta colocataire avec toi qui t’aide pour le coup à gérer avec les filles, car c’est pas toujours la joie pour être honnête. Parfois elle et toi, vous finissez dans le même lit, mais toi tu n’y vois rien de mal et encore moins quelque chose qui pourrait te mener à te retrouver une bague au doigt. Non, loin de toi l’idée de te poser. Il est vrai que tu t’es calmé depuis l’arrivée des filles dans ta vie, mais surtout, car tu veux être là pour t’occuper d’elle. Tu n’es pas un coureur de jupons irrespectueux ! Oui ça existe. Tu ne les jette pas ou autre, puis généralement elles sont prévenues, tu ne veux pas te poser … pourquoi faire ? La dernière fois que tu as tenté une histoire avec une fille, elle paniquait à chacun de tes matchs. Puis t’attacher te rend trop jaloux … autant éviter des combats hors matchs officiel.
✄ Racontez-nous votre première histoire d'amour. Tu étais en secondaire quand tu as rencontré Livia. Elle avait trois ans de plus que toi et tu étais âgé de dix-huit ans. Elle bossait dans un bar où tu passais assez souvent, mais c’était sur la plage que tu avais fait sa rencontre lors d’une soirée. Tu n’avais que quinze ans quand tu l’as rencontré, elle n’était pas la première fille, mais ce fût bel et bien d’elle que tu fus épris assez rapidement. Tu es sorti avec elle durant neuf mois, ta plus longue histoire d’amour autant dire que ce n’est pas très long comparé à d’autres personnes. Mais Livia t’a appris un tas de choses sur le sexe comme sur l’amour ! Elle s’est jouée plus d’une fois de ta personne, mais toutes ces peines qu’elle avait pu causer à ton âme avait fait de toi un mec plus vigoureux et courageux, mais cela t’a toujours éloigné des relations sérieuse, voulant t’amuser, elle avait l’air si heureuse d’être si désinvolte que cela t’avait toujours fait rêver.
✄ Jusqu'où seriez-vous prêt à aller par amour ? Aucune idée. Tu ne peux pas m’avancer sur cela pour le coup. Sauf si tu parles de ma famille qui est Nilza et Louve. Autant dire que là, tu serais sans doute prêt à beaucoup, comme à tuer quiconque voudrait les blesser ou autre. Tu aimes ta famille, enfin surtout les fillettes, il faut dire qu’avec tes parents c’est plutôt compliqué. Donc, tu ne sais pas ce que tu pourrais faire par amour, mais pourquoi pas croire que tu serais capable d’énormément pour une personne qui compterait énormément pour ta personne ? Après tout, c’est tout ce que tu peux proposer pour le moment ! Mais qui sait un jour tu pourrais pouvoir répondre à cette question par toi-même et trouver bien d’autre chose.
✄ Croyez-vous en l'amour ? Pourquoi ? Oui tu y crois. L’amour ce n’est pas juste là pour lier deux personnes voulant passer leur vies ensemble pour toi ! Tu peux porter de l’amour à une amie ou un ami et à ta famille. L’amour est partout, alors ne pas y croire serait comme ne pas croire qu’une pomme ne serait pas ronde, donc en définitive ça serait idiot de ne pas y croire. Il y a des preuves d’amour assez répandu dans ta vie, mais tu ne veux juste pas t’accrocher et tu le sais que le jour où tu te laisserais aller, bin tu finirais sans doute mal au point par les coups infligés par l’amour ! Une histoire d’amour n’est sans doute pas une simple partie de plaisir … bien trop de chose à gérer et c’est bien pour ça que tu t’accroches à tes relations physique.
✄ croyez-vous au seconde chance en amour ? Pourquoi ? Non. Quoi que ça puisse exister pour les autres, mais toi, tu ne veux pas y croire ! Une faute c’est une faute et jamais tu ne pourrais pardonner une personne t’ayant fait un coup de travers. Tu es plutôt rancunier à tes heures perdues. Si tu pouvais t’en prendre à toutes les personnes ayant fauté dans ta vie autant dire que tu serais aux anges, mais leur donner une seconde chance ? Non, tu ne peux pas. Après, il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis, pas vrai ? Peut-être qu’un jour, tu changeras d’avis quand une personne que tu aimes ou même toi en aurait besoin d’une ? Maybe, cela reste à voir avec le temps par conséquent, vu que cela n’est pas encore arrivée.
test de personnalité
votre expérience ✄ ✔ célibataire - ❒ en couple ✔ heureux - ❒ malheureux ✔ accompli - ❒ en manque ✔ l'amour existe - ❒ l'amour n'existe pas
votre vision de l'amour ✄ ❒ l'amour est une réalité, vous y croyez ✔ l'amour ne vaut pas les plaisirs de la chair ❒ vous y croyez, vous y aspirez ❒ l'amour est comédie grandeur nature ❒ l'amour vous a maltraité, vous avez été brisé
votre façon de vivre ✄ ❒ vous aimez passer un moment romantique à deux ✔ vous partez à l'aventure, à la recherche de nouvelles rencontres ❒ vous changez de nana/mec comme de chemise ❒ vous jalousez les couples amoureux ✔ vous restez à l'écart pour ne pas vous attacher
si vous étiez un personnage Disney ? ❒ Anna, La Reine des Neiges ✔ Flynn, Raiponse ❒ Maléfique, La Belle aux bois dormant ❒ Rouky, Rox et Rouky ❒ La Bête, La Belle et la Bête
si vous étiez une couleur ? ❒ cramoisie ❒ tuquoise ❒ ébène ✔ caramel ❒ violine
si vous étiez un animal ? ❒ un ours ❒ un lion ❒ une biche ❒ un python ✔ un kangourou
si vous étiez un jouet des années 90 ? ❒ Ken & Barbie ❒ Les cartes et jeux vidéo Pokémon ✔ Action Man ❒ Lego ou Playmobil ❒ Tamagotchi
▵ Vous devez écrire 10 anecdotes minimum concernant votre personnage. Vous pourrez les réutiliser pour votre profil et/ou votre fiche de liens. (veuillez effacer ce descriptif)
TOI, toi, toi IRL
prénom ✄ écrire ici. pseudo ✄ écrire ici. âge ✄ écrire ici. pays ✄ écrire ici. comment as-tu connu le forum ? ✄ écrire ici. impression ✄ écrire ici. scénario ou PI ✄ écrire ici. si scénario, [url=LIEN DU SCENA]scénario de x[/url] double compte ou nouveau ✄ écrire ici. un dernier mot ✄ écrire ici.
Je souhaite l'exclusivité : ❒ du prénom ❒ du nom de famille
Tu te levais de ton lit, tu entendais ton frère hurler dans la pièce d'à côté. Tu marchais le long du couloir qui te séparait de sa chambre. Un petit sourire tout effrayé venait se glisser sur tes lèvres, tu marchais d'un pas doux jusqu'à déposer avec douceur et crainte ta main sur la porte de cette pièce qui était là où se tenait Riazan ton grand frère. Il était plus âgé que toi de quelques minutes, car vous étiez jumeaux et pourtant si différent. Ton regard s'emplissait de larme en voyant ton frère se frapper sur le visage de la sorte, il avait l'air d'y mettre toute sa force, alors que ses bras étaient si peu puissant tout comme les tiens. Vous avez beau être identique au niveau du physique à quelques petites différences comme un grain de beauté dans le cou pour lui et toi l'absence de ce dernier. Tu sais exactement ce qu'a ton frère, il est autiste, on t'a expliqué cette maladie que tu n'avais pas. Tu laissais ton corps glisser sur le sol, ton sourire toujours présent malgré cette douleur que tu pouvais sentir s'imposer à ton cœur. Venant glisser ta main dans celle de ton frère, tu sentais ses mains te repousser en te frappant, chose qui te rendait au plus mal, comment tu devais réagir le voir lui, ou toi dans un miroir si mal, si triste et incompris. Les coups n'avaient pas fait que je lâche la prise sur sa main, je voulais l'aider, le calmer alors que je pouvais entendre des pas se faire entendre dans le couloir de la villa où l'on vivait. C’était ton frère et rien ne pouvait remplacer l’amour que tu lui portais. Après tout, il avait été ton premier ami et il était toujours là, pourtant ton père tentait et réussissait à vous séparer. Les cris et les pleurs s’étaient atténués, tu te laissais glisser contre le mur avec lui te retrouvant allongé, tu étais fatigué, tu avais eu une grosse journée aujourd’hui avec ton père qui t'avait emmené avec lui dans son bureau. Ton père était dans la politique, il avait quitté l'Australie pour commencer sa carrière ailleurs où là son père exercer le droit et la politique. Doucement, tu finissais par t’endormir en sentant les battements de cœur de ton frère battre en rythme avec le tien. Étrange ? C’était loin de l’être. Tu avais toujours fait ça, ta mère n’y voyait pas d’inconvénient tout au contraire de ton père, qui avait beaucoup de mal à regarder Riazan dans les yeux ou encore de s’occuper un tant soit peu de lui. Ta mère était aimante, mais elle écoutait souvent ton père, malheureusement. Car, tu allais faire ton entrée au collège, mais sans ton frère, tu savais que ta grande sœur plus vieille de trois ans allait être là, Tallulah, mais cela n'était pas la même chose pour toi. Tes parents, ils avaient décidé de s’occuper de lui correctement en le mettant dans une école spécialisée, tu n’aimais pas le fait d’être sans lui. Depuis la maternelle, tu avais été avec lui, vous étiez inséparables, ce qui te valait de temps à autre les moqueries des autres gamins, mais tu étais loin de t’en préoccuper. Quoi que tu l’avais fait qu’une fois … tu t'étais détourné de ton frère et tu t'en étais tellement voulu que tu avais fini par te frapper tout comme lui, pouvait le faire. Tu avais compris ce jour-là, qu’il resterait l’une des personnes les plus importantes pour toi, cela grâce à Tallulah, qui parfois reconnaissait, qu'elle ne savait pas comment s'immiscer dans notre relation, elle avait l'impression d'être de trop quand tu étais avec lui.
« Sweem dépêches toi ! » Tu étais dans ta chambre et ton frère venait de te rejoindre pour jouer dans ta chambre. Il voulait faire un puzzle avec toi. Tu avais de plus en plus de mal à passer du temps avec lui. Non pas, car tu ne le voulais pas, mais les cours ainsi que tes activités extra-scolaire ne t’aidait pas réellement à en avoir puis, à chaque fois que tu te posais avec lui, ton père faisait comme exprès d’avoir besoin de toi ou de t’emmener quelque part. Pour le coup, quand il t’appela, tu ne te levais pas restant face à ton frère à chercher des morceaux correspondant au début du puzzle déjà bien entamé par ton frère. « Sweem ton père t’attend ! » Tu regardais ta mère qui se tenait dans l’encadrement de la porte de ta chambre. Tu secouais la tête en la regardant puis regardant ton frère. « Je ne veux pas l’abandonner ! Il n'a qu'à y aller avec Tallulah » C’était le mot, il était parfait pour la situation ! Pendant le repas, il t’avait proposé de faire cette activité ensemble et la seconde après ton oui, ton père avait déjà rétorqué que tu ne pourrais pas qu’il allait te prendre avec lui pour rendre visite à la concurrence. Alors, que pour le coup, tu n’en avais totalement rien à faire. « Sweem, tu sais que c’est important pour ton père, vous pourrez le faire après. Puis Tallulah ne peux pas y aller, elle a danse. » Tu te levais, tu étais en colère et ton frère le ressentait malgré que tu ne le montrais pas ou ne disais rien ou autre. Tu soufflais doucement en posant ton regard très glacial dans celui de ta mère tout en grimaçant. « On sait très bien que non je n’aurais pas le temps ! Avec mes devoirs, l’heure à laquelle je vais rentrer et le repas puis il sera au lit ! Alors, non ! » déposant tes bras sur ton torse en les croisant alors que ton regard soutenait celui de ta mère. Ton père arriva à cet instant ! « Jeune homme tu ne parles pas ainsi à ta mère et tu te dépêches de descendre pour qu’on y aille, il peut très bien jouer tous seul ! » Tu secouais la tête pour cette fois, tu n’allais pas le lâcher, pas encore une fois, cela t’étais arrivé souvent par la faute de ton père qui faisait tout pour que tu passes le moins de temps possible avec lui. « Non, tu n’as qu’à y aller seul ou alors il vient avec nous ! » Tu le regardais et tu étais loin de vouloir lâcher l’affaire cette fois-ci. « Sweem, tu te dépêches sinon, je vais mettre ton frère là où il devrait être en maison spécialisée ! » Tu secouais la tête un peu plus, tu allais répondre, réagir violemment alors que tu ne pouvais rien dire bien trop peur qu’il ne disparaisse trop longtemps de ta vie. « Maintenant Sweem ! » Tu regardais ton frère haussant les épaules, son regard te déchirait le cœur, alors que tu prenais tes affaires le cœur serré. Ton père faisait tout pour cacher l’existence de ton frère jusqu’à dire qu’il n’avait pas deux fils, mais un ainsi qu'une fille. Ta sœur, venait de sortir de sa chambre, vu que ton père devait la déposer pour la danse. « Je vais rester ici avec Riazan, ok !» Elle venait embrasser ta joue, tu laissais un sourire explorer ton visage, alors que tu secouais la tête et la laissa dire à ton père qu'elle n'était pas très bien, cela te rassurait, mais tu n'avais pas envie de te prendre la tête à nouveau avec ton père et encore moins lui adresser la parole.
Tu étais au lycée maintenant. Tu avais de moins en moins de temps à consacrer à ton frère, mais le peu que tu pouvais obtenir pour lui, tu lui donnais. Tu étais en couple depuis pas mal de temps maintenant trois mois, avec une femme bien plus âgé que toi. Livia tu étais tombé amoureux dans l'instant, enfin du haut de tes quinze ans pouvais-tu vraiment te dire que c'était le grand amour ? Tu ne savais pas exactement ce que tu pouvais ressentir pour elle, mais tu étais bien et elle était différente de toutes celles que tu pouvais croiser dans les couloirs de ton lycée privé. Comme Manika par exemple. Cette fille qui était tout bonnement la fille de l'homme étant à la tête de l'équipe qui tentait de dévaloriser mon père dans son métier pour être député, c'était une guerre sans merci. Toi, mieux tu te portais quand tu étais au loin de ces histoires. Surtout que ta vie, tu n'aimais pas forcément qu'elle soit exposé à la vue de tous, en sachant que ton père pouvait s'en servir contre ton frère pour te punir. Tu comprenais depuis quelques années maintenant avec ta sœur Tallulah que ton père n'aimait pas forcément Riazan, mais cela tu ne pouvais pas le concevoir, il n'avait rien fait mis à part souffrir d'autisme, mais parler avec ton géniteur était comment dire ... une perte de temps, vu que ce dernier aimait les discussions sans réels liberté de sa part. Tu vivais ta vie entre la boxe qui te permettait de rester calme et de ne pas t'énerver au quart de tour quand une chose te déplaisait. Pour ce qui était des cours ? Tu étais plutôt brillant, tu le savais, tu avais besoin de briller pour que ton père ne soit pas trop dur avec ton frère, car pour lui les défaites que tu pouvais vivre était due au temps passé avec lui, cela n'était pas réellement le même discourt pour ta grande sœur, qui avait plus de temps à consacrer à votre frère, mais cela te brisait, car ton frère te manquait étrangement et c'était bien pour ça que tu t'étais tant attaché à cette jeune femme bossant dans un bar réputé pour les filles servant en petite tenue, mais tu l'avais rencontré sur la plage, surfant avec elle, Livia avait l'air de tant te comprendre que tu avais fini par l'embrasser laissant la braise vous emporter bien plus loin que tu n'aurais pu l'imaginer. Tu avais rendez-vous avec ton père ce matin et tu y étais comme prévu, mais tu ne savais pas justement que des paparazzis t'avaient pris en photo avec Livia, chose qui avait enclenché une rage chez ton père. « C'est quoi ce torchon et cette fille ! Tu as vu son âge et tout le reste ? Non, mais tu fais tout pour faire n'importe quoi entre Riazan et maintenant ça, tu ne m'as pas laissé le choix ! » Tu regardais ton père fronçant les sourcils, tu ne voulais même pas répondre, tu le sais avec lui, cela ne servait à rien pour le coup. Tu montais dans ta chambre, mais tu t'arrêtas à la porte de ton frère, tu n'avais pas le temps de lui parler. Cela n'avait même pas été dans tes projets, mais sa porte de chambre était ouverte et surtout déserte. Tallulah déposa sa main sur mon épaule et te dit d'une voix douce. « Ils l’ont envoyé en maison spécialisé Sweem ... » Sa voix était douce, mais tu pouvais voir les larmes couler le long de ses joues, tu secouais la tête, ne croyant pas ça, mais tu ne pouvais pas nier qu'il était capable de faire cela. Alors, malgré cette rage qui naquit en toi, tu allas te changer pour le meeting que ton père avait organisé, tu le savais qu'il y allait avoir des questions pour toi tout comme pour le reste de la famille sauf pour ton jumeau. Lui, il avait toujours été caché. Ta rage n'était pas partie et quand un journaliste te demanda : « Que pouvais-vous nous dire sur votre père Sweem ? » Tu pouvais lui le prompteur, mais ce ne fût pas ce que tu allais faire, oh non, il avait été bien trop loin. « Ce que je pense de lui ? La liste serait longue, mais je vais le faire. Il est égoïste, menteur. » Tu avais fini par te lever, alors que ton père te prit la parole presque aussitôt pour intervenir. « Mon fils à un léger problème avec a drogue en ce moment. » Disait –il en te poussant pour prendre le micro. Tu descendais dans la fosse où se tenait tous les journalistes, expliquant qui il était réellement y comprit qu’il n’avait pas un, mais bel et bien deux fils. Après cela, tu partais, tu avais besoin d’évacuer ma haine. Tu allais à la salle de sport pour t’entraîner pour le match de boxe que tu avais dans peu de temps. Les retombaient de tes dires furent pas celle auxquelles tu t'attendais par la suite.
Trois ans que cette histoire de meeting c'était produite. Ton père lui avait tout bonnement réussi à s'en sortir, disant que c'était qu'une crise de jalousie que tu avais eu toute ta vie à propos de ton frère. S'il avait caché son second fils aux yeux des journalistes et du monde entier, c'était bel et bien pour le protéger de tout cet abattage médiatique. Tu savais parfaitement ce qu'était tout cela. Toi tu avais payé cher le fait de dire tout cela, que ce soit dans ton sport ou encore auprès de ton frère. Ton père t'avait tout bonnement envoyé au Canada finir tes études, tu pensais revenir vers l'âge de tes dix-huit ans, vu que tu pourrais le faire en étant majeur, mais tu avais décidé de continuer de bosser ta boxe là-bas, mais il était vrai que ton frère te manquait. Tu étais de retour, ton père n'était pas au courant, car tu ne lui avais plus parlé depuis tout ce temps, tu n'étais plus comme un membre de la famille, mais cela ne te gênait pas vraiment tout au contraire. Tu n'avais qu'une envie là de suite. Rejoindre et surtout voir Riazan. « Je suis désolée, mais vous ne pouvez pas aller le voir. » Tu secouais la tête ne comprenant pas pourquoi elle te disait que non, tu ne pouvais pas voir ton jumeau. « Pardon ? Comment ça je ne peux pas ? » Tu grimaçais attendant la réponse de cette femme, elle n'était pas jeune et en plus elle ressemblait plus à une vieille bibliothécaire qui vous criez dessus aux moindres petits chuchotements. « Sweem ? » Tu entendais la voix de ta sœur et tu te tournais vers elle, cette dernière poussait une double poussette pour ses deux petites filles que tu avais vu par Cam, mais aussi en vrai durant ces deux dernières années. Louve et Nilza était la fierté de ma sœur et tu pouvais dire que pour toi aussi elles étaient importante, vu que tu en étais le parrain et le représentant légal en cas de mort du père et de ta sœur. « tu sais pourquoi elle m'empêche de le voir toi ? » Elle te lanças un regard soulevant ses épaules. « Papa ... je suis désolée. Je vais voir ce que je peux faire pour que tu puisses le voir. » Tu n'en croyais pas tes oreilles à la nouvelle, comment pouvait-il te faire cela ? Tu aurais qu'une envie tout casser, mais ce n'était pas le moyen d'arranger les choses, pas vrai. Tu finissais par laisser ta sœur sortir de cet endroit l'accompagnant chez elle pour pouvoir vous retrouver, Tal' était importante pour toi, mais elle avait toujours eu raison un lien incroyable te liait avec ton frère.
Tu te réveilles et tu es tout bonnement dans le noir pour le coup. Tu te remets de ton petit coma qui avait duré durant deux jours, mais tu avais l'impression d'avoir dormi éternellement. Tes yeux quand ils s'étaient ouvert avait pu se déposer sur Riazan. Ton frère était là tout comme Tallulah. Elle l'avait amené ici, vu que normalement toi tu aurais dû le rejoindre depuis un moment hier pour passer un bon moment ensemble. En réalité, tu y allais sous le nom de Rayan Pezzeta, l'identité de ton beau-frère, le mari de ta sœur. Ce dernier voulait tout autant que Tallulah que tu vois ce dernier, qui avait toujours parlé de toi, disant que tu l'avais abandonné et tout. Maintenant tu pouvais allait le voir quand tu le voulais et cela se passait assez souvent à vrai dire. « Tu n'aies pas venu hier et ... je t'ai attendu toute la journée. » Ton frère te vola un sourire, alors que tu commençais à ressentir un mal étrange au niveau de la boite crânienne. Tu soufflais alors que le médecin frappait à la porte pour entrer. « Bonjour tout le monde, c'est possible que vous me laissiez avec monsieur Milwok ? » Tous le monde sortait, alors que toi tu fixais cet homme en blanc qui n'avait pas l'air très heureux de venir te voir, puis tu te demandais aussi où était ton entraîneur ? Enfin, tu laissais l'homme parler. « Je viens vous expliquer ce qui s'est passé. Vous avez fini k.o durant votre dernier combat et ce dernier vous a laissé avec une commotion assez sévère qui a un peu de mal à s'estomper de lui-même. Il faudrait et je le recommande à vous comme à votre entraîneur d'arrêter le sport durant quelques temps. » Tu le regardais fronçant les sourcils. « Quelques temps, c'est à dire ? » Il finissait par te dire qu'un bon petit six mois ne serait pas de trop et qu'au bout de trois mois tu pourrais reprendre un entraîneur moins intense qu'auparavant. Tu ne savais tout bonnement pas quoi dire tu restas silencieux demandant à ce médecin de partir et de dire à ta famille tout comme Riazan de ne pas revenir dans ta chambre, tu avais besoin de réfléchir à ce qui allait se passer à présent. Tu ne savais pas, mais avec les mois qui allait passer, tu étais loin de te douter que tu suivrais une formation en tant qu'ambulancier tout en jonglant comme prévu après huit mois, donc deux mois de plus avec ton sport dans lequel tu avais toujours excellé.
Tu avais bien du mal à te lever en ce moment, bien trop de chose à gérer. Ta sœur était morte depuis neuf mois à présent et tes nièces vivaient avec toi depuis six mois. Elles avaient été placées durant trois mois, le temps que tu puisses mettre de l'ordre dans ton programme. Tu avais arrêté auparavant le métier d'ambulancier voulant tout bonnement te consacrer à ton sport et tes compétitions. Mais, tu ne pouvais pas nier que les filles de ta sœur qui était morte avec son défunt mari dans un accident de voiture, les filles avaient subi ce dernier et autant dire que c'était plutôt compliqué. Ta vie avait bel et bien changé, tu ne pouvais pas courir toutes les nuits après une nouvelle fille ou encore moins la ramener à ton appartement, même si ta colocataire cela ne la dérangeait pas. Tous deux vous aviez du changer votre vie pour ces petites, au début tu pensais à partir, mais cette dernière qui était une amie tout autant qu'une compagne de chambre de temps à autre avait accepté de changer certaine chose pour que tu puisses rester. Elle t'aidait beaucoup et autant dire que cela était fabuleux, car seul tu aurais du mal du haut de tes vingt-trois ans à tout gérer, surtout que tes parents tente de récupérer la garde des petites, ils n'attendent qu'une petite erreur de ta part pour te faire perdre pied et te les voler. Tu as donc abandonné à mi-temps ta carrière de boxeur, pour reprendre un boulot stable qui est ambulancier, ce métier que tu avais décidé de choisir auparavant, ça fait huit mois exactement que tu as repris ce dernier. Tu ne te plains pas, car tu aimes assez ce dernier, mais il est vrai que tous ces changements sont parfois compliqués à gérer. Surtout que tu continues de voir ton frère et ce n'est pas facile vu que tu portes l'identité d'un mort quand tu y vas, heureusement que personne ne te connait ou ne te reconnait toi Sweem qui est interdit de passage auprès de ton frère jumeau. Quand tu lis le cahier des visites tu as souvent de la peine, car ton frère n'a vu que quelques fois ta mère, mais jamais ton père, il n'avait que Tallulah et toi, sauf qu'il a beau quémander cette dernière, elle n'est plus là. Tu te concentres sur tes nièces Nilza et Louve ainsi que sur ton frère, tu ne sais pas comment vont être les prochains jours, mais tu veux croire que tout est possible avec l'amour que tu leur portes.